Forts de Metz
Vous trouverez dans cette page, les photos des fortifications de Moselle, particulièrement les forts construits par Raymond Adolphe SÉRÉ DE RIVIÈRES, en passant par les fortifications Allemandes, les "festens" construites pendant l'annexion de la Moselle et de l'Alsace de 1871 à 1918...
Selon VAUBAN : « Les autres places du royaume couvrent la province, Metz couvre l’État ».
Selon VAUBAN : « Les autres places du royaume couvrent la province, Metz couvre l’État ».
Divodurum est une ville fortifiée depuis l’antiquité. Les Médiomatriques érigèrent un oppidum dominant la Moselle, probablement sur la colline Sainte-Croix. Lorsque les Romains arrivèrent en 52 av. J.-C., ils construisent un poste militaire, qui s’agrandit peu à peu. Aux IIIe et IVe siècles, les édiles de la cité font construire les premiers remparts de pierre, pour faire face aux premiers assauts des barbares. La ville s’entoure d’une enceinte percée de plusieurs portes où sont réemployés des blocs d’architecture et des stèles des monuments romains. La ville ainsi enclose n’avait plus qu’une longueur de 1 200 m et une largeur de 600 m et sa superficie était ramenée à 70 ha. À la chute de l’Empire romain, les fortifications tombent en ruine ou sont intégrées à l’habitat urbain. Les maisons à arcades de la place Saint-Louis ou l’église Saint-Martin sont construites sur les fondations du rempart romain.
Aux IXe et Xe siècles, les fortifications de la cité sont renforcées, notamment par l’évêque Robert. Les remparts sont renforcés une première fois vers 1235. L’enceinte, de plus de 6 000 mètres de long, compte alors pas moins de trente-huit tours carrées ou rondes. La plupart portent le nom des corporations chargées de leur entretien. Une partie de cette enceinte est toujours visible le long de la Seille. En 1324, l’enceinte compte plus de dix-huit portes ou poternes : la porte Serpenoise, la porte Saint-Thiébaut, la porte en Chandellerue, la porte des Repenties, la poterne Saint-Nicolas, la porte Mazelle (à Maizelle), la porte des Allemands, la porte Sainte-Barbe, la porte du pont Dame-Colette, la porte du Haut-Champé, la porte de France, du Pont Rémond (ou Renmont) de la Saux-en-Rhimport, de Chambière, de l’Hôtel-lambert, d’Outre-seille, du Pontiffroy, du pont des Morts, d’Anglemur et de Patar. L’enceinte médiévale est renforcée une seconde fois vers 1445, comme le rappelle la porte des Allemands.Du XVIe au XVIIIe siècle, les fortifications de la ville de Metz connaîtront plusieurs remaniements, qui transformeront radicalement la ville fortifiée médiévale en une véritable place forte moderne, adaptée à l’artillerie et aux nouvelles techniques de siège.
Metz devient une place forte au XVIe siècle, avec la construction de la citadelle, peu après le siège de Charles Quint de 1552. Le magasin aux vivres, construit en 1559, fait partie intégrante de la citadelle militaire et témoigne de l’organisation rationnelle de l’intendance des garnisons militaires sous l’Ancien Régime.Louis XIV reconnait l’importance militaire de la ville et y envoie l’ingénieur Vauban pour examiner les fortifications. Ce dernier visite la place en 1675 et conclut : « Les autres places du royaume couvrent la province, Metz couvre l’État ». Ses plans sont en partie suivis en 1676, puis repris au début du XVIIIe siècle par son élève Louis de Cormontaigne. À cette époque, une partie des portes et remparts médiévaux est démolie et remplacée par de nouveaux ouvrages fortifiés. L’édification d’une double couronne de fortification est confiée à l’ingénieur militaire Louis de Cormontaigne, en sa qualité de directeur des places fortes des Évêchés, charge qu’il conserva de 1728 à 1749.
La construction du fort de Bellecroix doit protéger le front de la basse Seille, alors que le fort Moselle protège le front de la Moselle au nord-ouest. Cormontaigne conçoit les doubles couronnes en miroir. Jusqu’au début du XVIIIe siècle, les soldats étaient logés chez l’habitant, ce qui ne manquait pas de créer des problèmes entre la population civile et la garnison.
De 1726 à 1731, l’évêque Henri du Cambout de Coislin fait construire à ses frais une immense caserne sur le Champ-à-Seille pour loger l’infanterie. Au fort Moselle, on construit un hôpital militaire royal pouvant accueillir 2 000 malades et un corps de caserne d’artillerie. Un corps de caserne de cavalerie est construit à Chambière de 1732 à 1736.
Du Moyen Âge jusqu’à la fin du XIXe siècle, le quartier de l’Amphithéâtre sert de glacis pour les fortifications au sud de la cité. Cormontaigne fait édifier en 1737 la redoute de la Seille selon les plans de Vauban : un fort bastionné en avant des fortifications, à l’emplacement de l’ancien amphithéâtre gallo-romain.
Le sud de la ville reçoit également une ligne de remparts en 1739.
Les nouvelles constructions militaires permettent de recevoir 10 000 hommes et 2 000 chevaux. L’ensemble de la ville est alors bastionné, rendant sa prise improbable.À cette époque, Metz compte encore trois autres casernes, aujourd’hui disparues : la caserne de la Haute-Seille, construite en 1754, formée de deux pavillons pour le logement des officiers d’artillerie ; la caserne de la Citadelle, composée de baraquements, bâtie en 1755 aux frais du roi, de qualité médiocre ; et la caserne du quai Saint-Pierre, bâtie par la ville en 1691 pour loger les troupes de passage. Augmentée en 1745, cette dernière fut détruite avant 1817.
Cette longue tradition militaire se traduit également à Metz par les écoles militaires qui s’y sont succédé. Metz retrouve son rôle de place forte frontière, dès les premières années de la Restauration. Les fortifications voulues par le maréchal Belle-Isle sont renforcées et développées. Des ponts-levis à contrepoids variables remplacent les ponts dormants sur les rivières, les portes et les remparts de la place sont entièrement reconstruits. La lunette de la Cheneau, ou fort Gisors, est construite de 1822 à 1831. Avant l’invention de l’artillerie rayée, la place de Metz était considérée comme imprenable.
Au cours du XIXe siècle, les progrès de l’artillerie obligèrent les ingénieurs français à concevoir un nouveau système défensif autour de la place forte de Metz, la première ceinture fortifiée. Le maréchal Niel affecte une somme de douze millions de francs or à la construction de ces forts, qui débute dans l’urgence en 1868. Ce dispositif est à l’origine composé de quatre forts avancés et détachés, les forts du Saint-Quentin et de Plappeville à l’ouest, et les forts de Saint-Julien et de Queuleu à l’est.
Ce dispositif, conçu notamment par le colonel Séré de Rivières, était inachevé en 1870. Pour ce point stratégique majeur pour la défense de l’empire, l’état-major allemand poursuivit sans discontinuer les travaux des fortifications jusqu’à la Première Guerre mondiale.
L’empereur Guillaume II, qui venait régulièrement à Metz pour inspecter les travaux, déclara à ce propos « Metz et son corps d’armée constituent une pierre angulaire dans la puissance militaire de l’Allemagne, destinée à protéger la paix de l’Allemagne, voire même de toute l’Europe, paix que j’ai la ferme volonté de sauvegarder. »
Dans un premier temps, le système défensif composé de quatre forts fut complété par la construction de sept autres forts, par les ingénieurs militaires allemands, entre 1871 et 1898.
Dans un second temps, la première couronne de forts fut doublée par une seconde ceinture fortifiée, composée de neuf groupes fortifiés, entre 1899 et 1916. Les forts sont généralement composés de plusieurs grandes casernes entourées de blockhaus plus petits. Les casernes, enterrées sur trois côtés, tournent le dos aux tirs ennemis, n’offrant aux regards qu’une façade appareillée pour les plus anciennes, ou bétonnée pour les plus récentes. Les casernes ont généralement des murs de plus de deux mètres d’épaisseur et une couverture de plusieurs mètres de terre compactée, souvent renforcée par une chape de béton d’un à deux mètres d’épaisseur. Des tunnels souterrains relient la plupart des structures entre elles.
Les forts les plus anciens sont entourés de larges tranchées, véritables douves sèches dont la profondeur atteint parfois une dizaine de mètres. Ces forts étaient en outre entourés d’un réseau dense de fil de fer barbelé.
Aujourd’hui, outre ces forts avancés, de nombreuses casernes et terrains militaires dans l’agglomération messine et les communes avoisinantes rappellent encore le passé militaire de la ville de Metz.
Parmi celles-ci, il faut citer les anciennes casernes du Cloître, de Chambière, du fort Moselle, ou du Génie.
Dans les années 1890, Metz devient la plus grande place forte d’Europe.
Alors que Metz se débarrasse de son carcan bastionné hérité du XVIIIe siècle, un palais de l’intendance, un palais du Gouverneur, un nouvel hôpital militaire et de nombreuses casernes se construisent pour répondre aux besoins de la nouvelle garnison allemande, qui oscille entre 15 000 et 20 000 hommes au début de la période, et dépasse 25 000 hommes avant la Première Guerre mondiale. Parmi celles-ci, il convient de citer les casernes Ney, Barbot, de Lattre de Tassigny, Desvallières, Steinmetz, Grandmaison, Bridoux, Serret, Raffenel, Roques, Dupuis, Colin, Riberpray, Lizé et Raymond.
Un tribunal militaire, une école de guerre, de nombreuses dépendances et plusieurs arsenaux complétaient par ailleurs ces infrastructures militaires.
HISTOIRE DES FORTIFICATIONS DE LA 1ère et 2ème CEINTURE DE METZ.
I / Le développement de la première ceinture fortifiée messine.
Suite à la défaite française lors de la guerre franco-allemande de 1870-1871, la France perd l’Alsace et une partie de la région Lorraine qui sont annexées à l’Empire allemand. De ce fait, le tracé de la nouvelle frontière entre l’Allemagne et la France n’est distant que d’une quinzaine de kilomètres de la ville de Metz, mettant ainsi cette dernière à portée des pièces d’artillerie françaises, en cas de conflit.
Or, le culte de la revanche est très largement célébré en France, dont la volonté est de récupérer les territoires annexés.Du fait de sa situation géographique (le long de la Moselle et de la Seille, contrôlant les débouchés vers Verdun), Metz occupe une position stratégique.
Cette position n’avait d’ailleurs pas échappée aux stratèges militaires qui de tout temps avaient fortifiés cette ville. La dernière volonté de fortifier cette ville était très récente puisqu’elle datait de la fin du Second Empire et que les travaux entrepris restèrent inachevés puisque interrompus par le conflit de 1870-1871.
C’est Bismarck qui avait tenu à annexer Metz pour y développer un gros centre de résistance, dans le cadre d’une future attaque des troupes françaises dans cette direction. Mais cette position permettait également d’amasser des troupes dans le cadre d’une offensive ainsi que de disposer à cette même occasion d’une solide base arrière.
Les Allemands décidèrent donc de fortifier très rapidement les alentours de Metz en prenant en compte certaines considérations.
L’une des raisons de l’établissement de fortifications en dehors des murs de la ville réside dans la portée sans cesse croissante des pièces d’artillerie.
En 1870, la portée maximale des pièces d’artillerie est d’environ 7 km, alors qu’en 1914 cette portée passe à 27 Km pour les pièces les plus grosses.
Donc si l’on veut mettre la ville et ses casernements hors de portée des pièces d’artillerie, il faut édifier une ceinture de fortifications dont le but est d’empêcher l’approche des troupes ennemies et de son artillerie de siège.
En contenant les troupes adverses au-delà des forts, la garnison principale avait le temps de réagir aux éventuelles attaques. Ces forts avaient également pour but de protéger les troupes d’infanterie des tirs adverses le temps des bombardements, leur permettant ainsi de mieux répondre aux attaques d’infanterie.
Afin de remplir au mieux leur rôle de protection, ces ouvrages devaient être en mesure d’être autonomes quant à leur mode de fonctionnement interne (cuisine, infirmerie, salle des machines, chambrées…) tout en étant capables de se couvrir mutuellement en cas d’attaque.
Il s’agit de la même conception défensive que celle développée par Séré de Rivières du côté français.
Ce système de combat sous-entend, d’une part, que chaque fort doit être dans la capacité de prendre sous le tir de ses pièces d’artillerie le fort voisin dans le cas où des troupes ennemies seraient sur ces superstructures et, d’autre part, que les angles morts puissent être couverts par le feu des forts voisins.
Mais les forts étant établis sur des positions stratégiques, ils étaient dans l’incapacité de contrôler l’ensemble de l’espace, c’est pourquoi, entre ces ouvrages principaux, l’on construit des ouvrages secondaires capables de couvrir les angles morts ainsi que d’informer les forts de ce qui se passait à certains endroits qu’ils ne pouvaient voir.
Un ordre du haut commandement allemand prescrivant le début de la fortification de la place forte de Metz arriva dès le 8 novembre 1870, soit seulement dix jours après la capitulation française. Mais le temps que la garnison s’installe au grand complet, il fallut attendre le début de l’année 1872 avant de voir les premiers travaux commencer.
Ceux-ci débutèrent par une remise en état, l’achèvement ainsi que la consolidation des ouvrages commencés par les troupes françaises.
C’est ainsi que les forts de Saint-Julien, Queuleu, Diou et Plappeville furent achevés, que Saint-Privat qui avait été ébauché en terre fut construit en dur.
Parallèlement à ces travaux d’amélioration, les chantiers sur les forts des Bordes et de Saint-Quentin démarrèrent à la même période.
En plus d’améliorer les anciens forts français, les Allemands firent en sorte qu’ils communiquent entre eux et que l’ensemble des fortifications soit relié au quartier général, afin d’organiser au mieux le système défensif en cas d’attaques. L’ensemble de ces restaurations et constructions fut achevé dès 1875.
De nouveaux forts et ouvrages intermédiaires (abris d'artillerie, à munitions et d'infanterie) furent construits entre 1875 et 1880 pour répondre le mieux possible aux nécessités du relief. C’est ainsi que les forts Gambetta, Girardin et Decaen virent le jour.
De 1880 à 1885, il n’y eu pas construction de nouveaux forts mais simplement des améliorations au niveau de ceux existants. C’est ainsi que l’on créa des casemates extérieures d’observation ou de combat reliées aux forts. A cette époque, le fort de Queuleu était le plus important de l’Empire allemand.
En 1883, la découverte de la mélinite par le chimiste français Turpin révolutionna l’art militaire. Ces obus ayant un pouvoir de destruction nettement supérieur à ceux précédemment chargés en poudre noire permettaient de perforer sans difficulté les fortifications les plus modernes. Il fallut donc renforcer les superstructures des forts en activité par le recouvrement d’un revêtement en béton. L’ensemble des ouvrages défensifs précédemment construits bénéficia de cette modernisation dès 1888, sous peine de se voir démolir à la première action des batteries françaises.
En 1887, l’affaire Schnaebelé avait multiplié les tensions entre la France et l’Allemagne, à un point tel que certains évoquaient la possibilité de la reprise du conflit entre ces deux puissances. Cette affaire avait conforté l’empereur dans sa volonté de poursuivre la fortification messine pour mieux résister à la menace française qui était de plus en plus palpable. Il ordonna l’amélioration de cette première ceinture fortifiée. Ce renforcement se matérialisa entre 1890 et 1900 par la création de nouvelles batteries et de postes d’observation blindés. Le problème principal de cette première ceinture résidait dans le fait qu’elle avait été construite dans un premier temps autour des forts français existants. De ce fait, ce système défensif se trouvait dans un rayon de 4 km par rapport au centre de Metz, ce qui mettait cette ville à portée d’artillerie des pièces françaises. D’autant plus que la portée des pièces d’artillerie ne cessait de croître. A cette période (1894) ce système défensif comprenait 770 canons et avait une garnison de 40 000 hommes.
II / Le développement de la seconde ceinture fortifiée messine.
Cette décision d’ériger une seconde ceinture fortifiée, prise en 1896, émana de l’empereur qui décida que celle-ci serait plus éloignée de Metz et plus moderne que la précédente.
De nouveaux ouvrages furent édifiés de façon à composer le plus possible avec le terrain.
Ces ouvrages n’étaient plus construits en un gros ensemble, mais en plusieurs parties, reliées les unes aux autres par des galeries souterraines, ce qui permettait d’être dispersé sur le terrain et ainsi de s’adapter de manière optimale au relief.
Ces nouveaux plans permirent ainsi aux petits ouvrages excentrés de contrôler et de prendre sous leur feu les parties non visibles du bâtiment principal.
Les progrès de la métallurgie permirent de protéger le mieux possible les pièces d’artillerie, tout en les rendant plus efficaces, c’est ainsi que ces tourelles blindées devinrent rotatives et escamotables.
Ces blindages servirent également aux postes d’observation.
A l’intérieur, les ouvrages disposent des installations nécessaires pour vivre en autarcie, dans le cas où le fort serait totalement encerclé.
L’allongement des distances de tir permet aux forts de se couvrir réciproquement.
C’est ainsi qu’à partir de 1899, l’on vit la construction des groupes fortifiés : Lorraine, Jeanne-d’Arc, Driant, Verdun. Ces ouvrages permettaient de couvrir le front ouest.
Puis ce fut le front est qui bénéficia d’une protection dans la crainte d’une offensive française venant de cette direction. Ces ouvrages furent édifiés de 1904 à 1909 et ils profitèrent dans leur construction des enseignements que les Allemands avaient tiré de l’observation de la guerre russo-japonaise de 1904-1905.
Ces améliorations prirent en compte l’action combinée des troupes d’infanterie et d’artillerie, d’où des fortifications plus légères, mieux adaptées aux fantassins.
Le premier groupe fortifié qui prit en compte ces modifications est celui de l’Aisne, dont le rôle était de barrer la vallée de la Seille et dont la construction eut lieu entre 1904 et 1910.
Pour parer à une éventuelle menace débouchant de l’est, quatre nouveaux ouvrages furent construits : celui de Sorbey (1905-1908), celui de Mont (1905-1907), celui de Silly (1905-1908) et pour finir, celui de Sainte-Barbe (1907-1909), ces ouvrages étant assez avancés, des ouvrages intermédiaires furent construits à partir de 1907 entre ces deux ceintures : le groupe fortifié de l’Yser (1907-1911), la batterie du bois des Veaux, les ouvrages Nord et Sud de Chesny (1907-1909), la batterie de Crépy, le groupe fortifié de la Marne (1907-1916), le fort de Lauvallière (1908-1914) et pour finir le fort Champagne (1908-1914).
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